Escape in space

Voici le début d'une petite fic que je viens de commencer (il y a environ une heure). Soyez indulgent, c'est ma premiére fic sur 40K.

La lumière de son auspex éclairait son visage. Halrik courait depuis près d’une heure. Du sang coulait de sa tempe gauche ouverte, son bras droit tenait son épaule blessée et sa vision commençait à se troubler. Ses pas résonnait sur les grilles de fer et se répercutaient interminablement dans les coursives du vaisseau. Seul sa course effrénée faisant échos après la courte bataille qui avait eu lieu il y a a peine deux heures auparavant. La lumière verdâtre de son auspex commença faiblir, les batteries n’allaient pas tarder à lâcher. Il se réfugia dans une salle machine, dont la lourde porte était entrouverte. Il s’agenouilla derrière une imposante pile de caisse et attendit. Son esprit était encore confus, que c’était-il passée ? Etait-ce vraiment arriver ? Il ne parvenait pas à se calmer, tout était allé trop vite, ils n’avaient rien put faire. Le quatrième régiment d’infanterie du 78éme Corylian venait d’être exterminé par ces choses. Tandis que cette idée prenait forme dans son esprit, sa foi vacilla. L’Empereur les avait-il abandonné ?

Son auspex clignota. Pourvu que la batterie tienne encore un peu pensât il. Peut être avait-il une chance d’attendre les navettes d’évacuation, peut être pouvait-il s’échapper de cet enfer. Encore un peu, il avait encore besoin de son auspex. Petit à petit il se calma, récitant une prière de bataille que les prêtres avaient appris à tout le régiment : « L’Empereur nous gardes car nous somme ses enfants, L’Empereur veille sur nous car nous somme son troupeau, L’Empereur nous protége car nous somme son peuple. Veillons pour L’Empereur, combattons pour l’Empereur, vainquons pour L’Empereur. » Il récita cette prière trois fois puis se leva, tenant fermement son pistolet à plasma dans sa main droite et son auspex dans l’autre. Il n’avait même plus son épée énergétique perdue dans la carcasse d’une de ces choses. Il savait que le vaisseau devait se trouver en orbite au dessus de la planète Jorman Prime, il savait également qu’un spatioport devait se trouver non loin. Si il pouvait atteindre les navettes…

Le bruit de son auspex le tira de ses pensées et le ramena aux horreurs du présent. Trois signaux juste devant lui. Il ne voyait rien, le système d’éclairage était hors service depuis l’impact. Qu’avaient-ils heurté ? Il ne le saurait probablement jamais mais une chose était sur, ces créatures était apparu juste après l’impact. Il voulu tirer un coup de semence mais se ravisa, si ces choses ne l’avaient pas repérer, inutile d’indiquer sa position. Il prît un couloir parallèle en marchant le plus discrètement possible. Le bruit de ses bottes sur les grilles de fer lui mettait les nerfs à vif. Il devait s’approcher de la zone de l’impact pour rejoindre les navettes, il aurait voulu ne jamais remettre les pieds là-bas. L’atmosphère devenait lourde, suffocante, au fur et à mesure qu’il approchait. Son auspex ne lui renvoyait aucun écho. Sept mètres. De la sueur perlait sur son front. Six mètres. Toujours rien, un sentiment de malaise commença à grandir en lui. Cinq mètres. Tout était trop calme, il n’y avait absolument aucun bruit autre que celui de ses pas et sa respiration. Quatre mètres. La porte de l’imposant hangar dans lequel était atterrit l’astéroïde commença à se dessiner devant lui. Trois mètres. Il avait de plus en plus de mal à respirer, il dut retirer son armure carapace avant de continuer. Deux mètres. Il vérifia son arme une dernière fois. Un mètre. Prudemment, il avança jusqu’à l’immense porte du hangar, s’apprêtant à trouver un immonde charnier, il pénétra à l’intérieur.

Quelques petites fautes d'orthographe mais sinon, je plussoie l'ensemble. Le scénar semble bien ficelé, le fluff semble lui-aussi respecté et le suspense est à son paroxysme. Bravo.

Idée très intéressante, vivement la suite. Je m'imagine bien à la place de ce soldat. Vraiment Génial.

Voici la suite et fin du début de ma fic...


Il eut le souffle coupé devant l’étonnant spectacle qui s’offrait à lui. La pièce qui, trois heures plus tôt, était un champ de bataille s’était transformer en une petite jungle. Il essuya le sang qui lui coulait dans les yeux pour voir si tout cela n’était pas une hallucination. Les Maraudeurs et Vultures avaient disparus sous d’étranges spores et amas organique. Il n’y avait plus aucun cadavre, le sol était devenu un tapis de matière liquéfier. Ses lourdes bottes avaient du mal à se soulever à chaque pas, sa respiration devenait irrégulière. L’atmosphère était imprégnée de microspores qui se fixaient à ses vêtements, collaient à sa chair et emplissaient ses poumons. Il distingua une forme imposante proche de ce qui devait être la coque et s’approcha prudemment. Le kasrkin vit enfin l’origine de ce cauchemar. Cela semblait vivant, il aurait juré que ça respirait. La « chose » faisait environ 18 mètres de diamètre et avait dus faire parti d’un ensemble plus grand. Sûrement un fragment de vaisseau provenant de la flotte ruche ayant été détruite ici il y a un peu plus d’une semaine, pensa-t-il. Un léger bruissement sur sa gauche le fît sursauter, comment avait-il pût baisser sa garde. Il se retrouva dos au fragment et scruta autour de lui, entre les étranges cheminée organique, à la recherche d’un éventuel danger. Son auspex n’indiquait rien, il était seul dans le biohangar de ce qui fût l’un des plus prestigieux bâtiment du 78éme Corylian. Il repris sa lente progression vers le fond du hangar où devait se trouver les nacelles d’évacuation de cet étage.

Il vît les portes entrouverte du second hangar à quelques mètres devant lui, peut être n’était-il pas le seul survivant. Il voulut accélérer la cadence mais se ravisa, et si ces choses l’attendait à l’intérieur. Braquant son pistolet à plasma sur la porte, il avança en tentant de faire le moins de bruit possible. Tout ces sens étaient en alerte, le soldat reprenait le dessus sur l’homme. Il se trouvait face à la porte, près à faire feu au moindre mouvement, l’auspex était silencieux. Il jeta un rapide coup d’œil alentour puis se plaque contre le mur. Halrik actionna la commande de la porte. Il ne se passa rien. Il réessaya, sans résultat. Il se replaça face à la porte et commença à la pousser. Il s’en voulut de ne pas avoir son casque pour éclairer la salle, dont l’alimentation était coupée depuis l’impact. Un faible signal provint de son auspex. Il se retourna vivement, s’apprêtant à voir déferler les xenos. Le signal gagna en intensité puis disparu. La batterie de l’auspex venait de rendre l’âme. Il recula dans le second hangar lentement. Les rares lampes de secours allumées jetaient une lumière pourpre dans la salle.

Ses yeux s’habituèrent à cette luminosité particulière et il prît la direction du module de sauvetage le plus proche. Deux modules étaient manquants. Sans énergie, il devrait procéder au largage manuel du module. Il commença à actionner les imposantes poignées de désengagement des modules lorsqu’un bruit se fit entendre à l’entrée du petit hangar. L’arme à la main, il se retourna et vît deux silhouettes devant la porte. Il reconnu les xenos-type genestealers. S’accroupissant derrière le tableau de commande principal, il ajusta son tir. Il espérait qu’il ne l’avait pas encore repéré. Il pressa la détente. La tête du premier tyranide vola en éclat tandis que le second se plaquait au sol, près à s’élancer sur sa proie. Il n’aurait pas de seconde chance, se relevant d’un bond, il abattît le xenos de deux tirs directs dans la poitrine. Maintenant, il devait se dépêcher car les autres n’allaient sûrement pas tarder. Déverrouillant le dernier point d’arrimage, il se précipita vers le module lorsqu’un nouveau xenos apparu dans l’encadrement de la porte. Plus petit, il semblait fragile et ses mains étaient constituées d’un bloc desquels dépassait de petit dard. Il n’eut pas le temps d’identifier le type de gaunt que trois autres étaient rentrés et se précipitait sur lui. Il ouvrit le feu, en tuant un et en stoppant un autre. Le troisième tira ses minuscules épines sur lui. Cela ne provoqua que de légères piqûres, il terrassa le gaunt d’un tir dans la tête et acheva celui qui tentait de se relever. Le dernier détala sans demander son reste. Actionnant la dernière commande, il monta dans le module.

Le système de largage se mit en marche, secouant le module. Un crissement contre la porte du module lui fît comprendre qu’un xenos était accroché à la paroi. Le fracas de la carapace écraser qui suivit lui confirma ce qu’il pensait. Il s’en était sortit, il était vivant mais une question lui vint à l’esprit : pourquoi ce gaunt s’était-il enfuit devant lui ? Ses yeux s’écarquillèrent de surprise et de terreur lorsque les tentacules du lictor se refermèrent autour de sa gorge. Son arme résonna en tombant, il aurait voulu crier mais la pression était trop forte. Une forte douleur au niveau de la nuque lui indiqua que le xenos commençait son repas. Puis la douleur s’estompât, sa vue se moucheta de point noir et ses muscles se décontractèrent. Sa dernière penser fut, je vous rejoins mes frères.

Alors là je dis bravo. Mise à part quelques petites fautes, c'est génial.

J'attends la suite avec impatience.

Comment ça des fautes ?! Mon correcteur m'aurait-il lacher comme son auspex ?

Pour la suite, il faudra attendre un peu, vers fin aout-début septembre.

Oui quelques fautes :

"d’étrange spore " > d'étranges spores, y'en a pas qu'une j'imagine. :noel:
"Les rares lampes de secours allumer" > alluméES.

Et c'est à peu prés tout.

Sinon pour la suite fin aout, je ne dirai qu'une chose : booouuuh

A des fautes d'accord, je pensais que c'était des fautes d'orthographe. Et pour la suite je ne peux pas faire mieux, j'ai beaucoup d'autres projets plus le boulot donc temps libre=0.01% de mon temps total.

Je ne diraiqu'une chose : booouuuuh

Tout a fait d'accord avec Nainconnu sur tous les points que ce dernier a cité

Magnifique. Fin magnifique et ses dernières parole le sont aussi c'est vraiment génial cette fic Enjoy~

Pour faire plaisir au nain-que-personne-ne-connait, voici la suite de ma petite fic.

Ils avançaient dans la jungle depuis près de trois jours, le sergent Koneurs commençait à détester cette mission. Deux hommes était déjà morts à cause de la fièvre et un avait disparu durant son tour de garde. Le haut commandement aurait mieux fait d’envoyer un régiment de Catachan pour ça. Le 78éme Corylian était entraîné au combat urbain pas forestier, les soldats en avaient assez de cette jungle. Les moustiques étaient gros comme le poing d’un ogryn, les sangsues épaisse comme des branches et les créatures qui peuplaient cette jungle n’étaient pas toute amicales. Dès leur arriver, ils avaient été attaquer par une sorte de fauve à six pattes grand comme une chimère ensuite ce fut une volée d’oiseau carnivore qui leur rendit visite. Ils étaient tous à bout, l’avant poste perdu n’était plus très loin mais le chemin été si éprouvant qu’un pas en paraissait dix et que chaque mètre avancé semblait n’être que quelque centimètre. Le garde de Catachan auraient déjà traverser tout ça et seraient sur le chemin du retour alors qu’eux étaient à peine arriver à l’avant poste. Quelle idée d’installer une base avancée sur une planète pareille. Trois heures de marche plus tard, le sergent Koneurs fit faire une halte à ses hommes dans une de ces immenses clairières vestige d’une guerre récente. Deux éclaireurs partirent reconnaître le terrain tandis que les autres commençaient à organiser les tours de garde. Ils étaient tous épuisés, le sergent décida de leur remonter le moral avec un discours. Il monta sur une souche, tous les regards se portèrent sur lui.

« - Nous avons bien avancé aujourd’hui, vous avez fait du bon travail, nous somme presque arriver donc reposez vous et soyez prêt à leur montrer qu’il n’y a pas que ceux de Catachan qui peuvent traverser une forêt.
- Bien dit, sergent. Lança un soldat.
- Vous avez raison sergent, nous seront la fierté de la Garde Impériale. Dit un autre. »

Le sergent Koneurs descendit de la souche et passa parmi ses hommes, certain étaient couvert de plaque rouge causé par la flore local, d’autre se grattaient à cause des piqûres de moustique. Les éclaireurs revinrent en courant, en lançant des cris de joie. L’un d’eux, essouffler, commença à parler.

« - Sergent, sergent….la base….elle….elle est….ju….juste là. Derr….derrière ces….arbres
- Oui…à a peine….trois….trois cent mètres.
- Reprenez votre souffle, vous dites que la base est juste à côté. Très bien, Altor, dite aux hommes que nous partons. Nous sommes enfin arriver.
- Oui sergent ! »

Ils se remirent en marche en suivant les éclaireurs. Que la jungle soit urbaine ou naturel, ces gars trouvaient toujours leur chemin.

Une demi heure plus tard, la base était en vu. Les soldats poussèrent un soupir de soulagement en voyant le bâtiment principal arborant l’aquilla impériale. Leur joie fut de courte durée lorsqu’ils virent les grilles défoncer gisant au sol, les nombreux impacts de balles qui criblaient les bâtiments et les plantes qui commençaient à recouvrir le tout. Au fur et à mesure qu’ils avançaient dans la base, une constatation s’imposa à tous, quelqu’un ou quelque chose avait attaqué cette base et avait balayer les défenses. Ce qui dérangeait le plus le sergent Koneurs était l’absence de ce qui devrait ce remarquer le plus : les cadavres. Les impacts de balles étaient dus aux armes impériales, il n’y avait aucune trace des attaquants. Il ordonna à ses hommes de se séparer en groupe de trois pour fouiller la base, Elliot « Le Bleu » Vaskez et le radio, William Altor, restèrent avec lui. Après une heure de fouille intensive, ils ne trouvèrent rien pour expliquer cette disparition. Il y avait clairement eu un affrontement ici mais contre qui et où étaient passé les corps cela ils ne le découvrirent pas.

Après avoir donner l’ordre à ses hommes de remettre en état le système de défense de la base, le sergent Koneurs demanda un contact radio avec le croiseur en orbite. Celui-ci ne répondit pas. Il voulut contacter le spatioport mais aucune communication ne put être établie. Ils étaient seuls, un ennemi inconnu rodait dans la jungle et ses hommes étaient à bout. Un sentiment de malaise se développa en lui, quelque chose clochait sur cette planète, il en avait l’intime conviction. Sa réflexion s’arrêta la, dehors les premiers tirs fusaient. Le sergent courut vers la porte et sortit dans la tourmente de la bataille, mais que ce passait-il ici à la fin ?

Owi ! Je suis si heureux !

Mais y'a des fautes.

Mais quel rabat-joie!!!
Sinon cette fic est pas mal du tout, j'ai hate de lire la suite

Nainconnu a écrit:

Owi ! Je suis si heureux !

Mais y'a des fautes.

Et il y en aura toujours. Si mon correcteur automatique ne trouve pas les fautes, je ne les verrais pas non plus.

Pour la suite je plancherais dessus la semaine prochaine, j'ai déjà l'histoire il faut juste que je l'écrive. Donc à bientôt pour de nouvelles aventures dans les ténèbres d'un lointain futur où il n'y a que la guerre.

Superbe fic^^ un très bon suspense, surtout
j'attend la suite

PS nainconnu a raison, ya quelques fautes secondaires, mais tout le monde en fait^^

Ikarus, comment peux tu faire des fautes alors que tu est écrivain C'est inacceptable, vient là que je te punisse . Sinon je vois que tu n'a pas encore mis ta fic en entier, ce n'est pas bien de faire attendre tes lecteurs avec un faux suspens.

Comme il est au travail, il m'a demander de vous mettre une partie de la suite de sa fic. Je vous aurais bien mis l'histoire en entier mais il ne veut pas. Donc voici la suite des aventures du 78éme Corylian:



Le sergent eut juste le temps de se jeter à terre avant qu’une rafale de mitrailleuse ne balaie l’air au dessus de lui. Plusieurs hommes étaient caché derrière une pile de caisse, d’autre rampaient au sol pour éviter les tirs qui arrosaient toute la cour. Koneurs chercha du regard l’origine des tirs et vit la tourelle de défense juste à côté d’un hangar. Deux hommes s’étaient effondrer devant elle, sûrement mort pensa le sergent. L’un des garde lança une grenade mais celle-ci explosa en vol, toucher par une rafale de mitrailleuse. Koneurs commença à ramper jusqu’à la tourelle dans l’espoir de pouvoir la désactiver lorsque cette dernière le prît pour cible. Il fit une roulade sur la droite pour éviter les premiers tirs mais vit la seconde rafale venir droit sur lui. Il crut sa dernière heure arriver lorsque les tirs cessèrent. Tous regardèrent la tourelle qui tentait toujours de tirer dans le vide, plus aucune munitions dans ses caisses. Les hommes à terre se relevèrent, le sergent se dirigea vers les deux blesser. L’un d’eux était mort mais le second respirait encore. Il donna l’ordre qu’on l’emmène à l’infirmerie puit donna quelques instructions au reste de ses hommes.

« Prenez garde, il semblerait que le système de défense soi toujours actifs. Ne touchez pas aux tourelles.

- Sergent, nous avons trouver quelque chose juste avant que la tourelle ne tir.
- Quoi donc, soldat ?
- C’est dans l’arsenal. Dans un container qui était censé partir il y a quatre jours.
Le sergent Koneurs regarda la base envahit par la végétation avant de répondre
- Quatre jours dites vous ?
- Oui sergent.
- Montrez moi cela. »

Ils pénétrèrent dans le hangar qui faisait office d’arsenal. Au fond se trouvait effectivement un container, la porte était entrouverte et de profondes entailles parcouraient ses flancs d’acier. Les hommes de Koneurs entrèrent à l’intérieur, suivi par leur sergent. Ils lui tendirent une fiche de destination déchirer et tacher mais sur laquelle on pouvait encore lire quelques mots :

ORDO XENOS……………IMEN VIVA……………..IDES……………………….. DEPART 2584012969M.41

Le container était vide, mis à part des débris de verre et un liquide poisseux il n’y avait plus rien à l’intérieur. Koneurs n’aimait vraiment pas ça du tout, la perte de contact avec le vaisseau en orbite l’inquiétait grandement. Le spatioport n’avait pas répondu non plus, il y avait quelque chose de louche sur cette planète.

vivement la suite :face:

...qui ne vient pas!

Ikarus ne peu pas tous faire non plus. Alors soyer patient.

Ouais t'inquietes, je rigole, en même temps j'attends tellement de suites de fic que je sais plus ou j'en suis.(Celles de Druchii, Nanotechnos, Crom, Lemexis, shas o gollum et celle ci pour n'en citer que quellques unes )