Galaxy in Flame
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 colonisation

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MessageSujet: colonisation   colonisation Icon_minitimeDim 29 Juin - 15:55

Ma fic, revue, corrigée, rerevue, recorigée, reprise, remaniée.
Very Happy

19:30; arrivée des premiers vaisseaux emplis de colons, escortés par "the Lytany of fury"

Les larges croiseurs, à la forme légerement bombée, atterissaient en douceur sur la surface de la planète. Au sol, les équipes d'éclairage avaient mis en place une piste d'atterissage, et les petites navettes au fuselage étroit des Spaces Marines gisaient ça et là, leurs occupants s'étant établis légèrement au nord, dans des collines proches.
Lorsque le sergent impérial Laryant arriva, de nombreux gardes avaient déja installé des miradors autour du campement provisoire. Il avait été désigné volontaire par le commandeur pour accueillir les colons au nom de la garde impériale. Laryant était arrivé au poste de sergent assez difficilement, apres avoir servi auprès des prêtres. Sa nomination avait été fortement controversée, en effet l'homme n'avait jamais combattu de sa vie, passée principalement au milieu des livres de la grande bibliothèque. On le croyait destiné à devenir psyker ou prêtre, mais, par les tours que le sort joue parfois, il s'était retrouvé à la tête d'une escouade de paratroopers Elyséens, chose d'autant plus incongrue qu'il ne se sentait bien que sur la terre ferme. Il avait par ailleurs mal supporté le voyage par vaisseau, ce qui avait eu le pouvoir d'oter à son visage toute couleur.
Il salua faiblement une escouade de Kasrkins qui patrouillaient et concentra son attention sur le soleil couchant. Il soupira en regardant toutes les nuances de couleurs qu'offrait le ciel.
Il était sur que ce paysage, ces apics rocheux qui se tenaient, fiers, devant un soleil magnifique, éclairant de ses rayons, atténués par la nuit proche, les nuages alentours, était quasiment parfait.
Laryant se défit de son casque et posa son épée un instant, appréciant la beauté du spectacle qui s'offrait à lui.
Il fut tiré de sa rêverie par une voix ferme:
-Sergent. On vous attend.
Laryant se retourna, et vit que celui qui l'avait tiré de ses pensées n'était autre que le comissaire Narth en personne. Le sergent observa un moment les favoris grisonnants de son interlocuteur. Celui- ci avait les traits durs, et les yeux gris acier. une cicatrice barrait son front, et ses mains noueuses laissaient paraitre son grand age. Le comissaire était certianement l'un des plus vieux soldats de la garde, avec ses soixante dix ans passés. Il avait cependant gardé une vigeur hors du commun pour son age.
Il était en fait l'opposé de Laryant, qui était jeune, pas très vigoureux... et net de cicatrices.
-Oui.. j'étais perdu dans mes pensées... où... dois-je aller?
"il aurait du devenir psyker ct'oiseau là" grommela le commissaire
-hem... suivez moi.
Laryant emboita le pas du commissaire à travers le camp impérial. Les troupes du génie avaient déja mis en place de nombreuses structures, et une véritable petite ville improvisée était prête à accueillir les colons. Laryant fit la moue en passant devant les petites maisons qui constituaient la colonie, principalement faites de carbone concentré.
Les technaugures travaillaient à la chaine, peu soucieux de la beauté de leurs ouvrage, n'ayant à l'esprit que le fait qu'il devaient encore construire des centaines de maisons avant le lendemain.
Laryant n'aimait pas ces petites maisons, assez confortables, mais si conformes à un modele donné...
Narth semblait avoir deviné les pensées du sergent.
-Que voulez vous...; Nous avons été débordés par l'arrivée massive de colons... pas que des hommes... Des taus, aussi, en grand nombre.
-Des Taus? dit le sergent, intrigué.
-Oui.. zavez bien etendu... des Taus. remarquez.. c'est pas ce qu'ya de plus mauvais pour le développement de la planète.. ah nous arrivons. allez-y, faites votre petit discours de bienvenue, je vous laisse.
Laryant monta sur l'estarde et se racla la gorge. Il n'était pas particulièrement bon orateur, mais le solide entrainement que lui avaient donné les prêtres, notamment pour haranguer les troupes, avait fait de lui un beau parleur. Une foule assez importante de colons se tenait devant lui, et il put y repérer un certain nombre de Taus
-Chers amis. Aujourd'hui nous fêtons un évenement d'importance. Grâce à vous, cette planète sera marquée par la banière de l'imperium de l'humanité et... euh... par les miracles de la technologie des peaux-grr... ahem.. Tau. Nous en arrivons donc à ce que je voulais vous faire parvenir. Les troupes d'élite de la garde impériale vont, avec le chapitre des ultramarines, assurer votre sécurité, pour que le processus de colonisation se passe sans heurts. Merci de votre attention et de votre compréhension.
Laryant descendit de l'estrade sous de bien pauvres applaudissements. Un garde arriva devant lui.
- On vous attend au poste d'infanterie pour fermer les portes. Dépéchez vous.
Le sergent remit son arme à la ceinture et se prépara à la longue marche qui allait le mener à la caserne
Le garde l'arreta encore et lui dit: "vous pouvez prendre une chimère dans l'entrepot."
Laryant sourit, salua le garde, et se hata vers le dépôt de chimères. Ces véhicules de transport rapide étaient assez confortables, particulièrement au siège conducteur.

Le sergent prit un véhicule et démmara. Par rapport au cauchemard qu'il vivait lorqu'il utilisait ses réacteurs dorsaux, le sergent adorait les voyages en chimère.

Sa division avait installé la base dans les montagnes proches de la future capitale de la planète. Le poste d'infanterie avait été littéralement enchassé dans la roche, au point qu'il n'y avait qu'un seul et unique chemin d'accès, lequel avait été consciencieusement miné par les sapeurs impériaux. Le quartier général avait été construit sur un mesa, et le templo ministorum, pour des raisons pratiques, avait été installé plus loin.
Laryant freina progressivement en arrivant devant le poste d'infanterie, puis, arrivé devant le batiment, arreta les moteurs.
Lorsqu'il sortit de la chimère, il retira son casque et salua d'un geste le soldat de garde à la tour de contrôle.
- Dépêchez vous, lui dit l'homme. Le réfectoire va fermer.
-Oui... oui... j'y vais tout de suite merci. dit Laryant d'un ton las.
Le sergent se serait volontiers privé de la nourriture infecte qu'on leur servait pour une nuit, mais son absence aurait été remarquée par le cuisinier, homme jovial et rondelet, qui considérait que manquer un repas représentait une insulte.
Laryant se dirigea donc vers le réfectoire de la caserne. La pièce était simple, carrelée en blanc et grossièrement cimentée. le cuisinier, Marcus, le salua et lui servit un bol de soupe claire accompagnée d'une tranche de pain de seigle.
Laryant ne s'attendait pas à mieux. Les rations étaient moindres depuis que la division avait pris pied sur la planète, peut être du fait qu'elle se situait au milieu d'un champ d'astéroides, ce qui empêchait un approvisionnement correct. Tant que la planète ne se suffirait pas à elle même, la vie continuerait d'être rude pour les colons et les soldats.
Après avoir avalé le brouet et la tranche de pain, Laryant se dirigea vers la sortie, en félicitant par politesse le cuisinier.
Le ventre quasiment vide, le sergent se dirigea vers les dortoirs et s'allongea sur sa couchette de plastique rouge. Il ramena la grossière pièce d'étoffe qui lui servait de drap , et essaya de dormir.

Le lendemain, après une rapide toilette, Laryan quitta le poste. Il devait effectuer une patrouille dans le campement des colons, et rendre un rapport sur la situation. Le sergent soupira. Cette tâche était parfaitement inutile. Les éclaireurs n'avaient signalé aucune forme de vie intelligente à cinquante kilomètres à la ronde. Laryant décida de descendre à pied. Son travail pouvait bien souffrir quelques minutes de retard. Sur le chemin, il remarqua un homme assit en contrebas. Il reconnut au premier coup d'oeil la bure sombre du père supérieur du templo ministorum. L'homme semblait méditer. Pour ne pas le déranger, Laryant fit un petit détour, en prenant bien garde de ne pas faire rouler de caillou, ou d'écraser une feuille.
Le prêtre éclata soudain de rire.
-Bonjour, Laryant.
Le sergent était assez gêné. Il ajusta son casque et répondit:
-Bonjour maître... Comment allez vous?
L'homme fit un énigmatique sourire. Il avait des yeux noirs, pétillants d'intelligence. Sa voix grave avait toujours mis Laryant à l'aise, excepté dans ce genre de situation, assez embarrassante.
- Je vais bien... je vais bien. Dis moi Laryant... je ne te vois plus souvent à la grande bibliothèque.
Le sergent s'assit sur un rocher.
- J'adorerais y être souvent... Mais mes nouvelles fonctions...
Le prêtre rit à nouveau, d'un rire franc.
-Le devoir avant tout, n'est ce pas... justement d'ailleurs, comment es-tu devenu sergent? Je te voyais beaucoup mieux psyker... ou peut être prêtre...
Laryant secoua la tête en souriant. Il ne savait pas vraiment lui même comment il avait accédé à ce grade.
-Eh bien... le commandeur avait dit un jour qu'il cherchait de jeunes hommes pour commander certaines escouades. j'ai sauté sur cette occasion de me faire une place dans le chapitre. J'ai passé de justesse les tests, et je suis devenu sergent. Je suis encore jeune... Je ferai mes preuves en combattant, un jour... J'espère du moins.
Le prêtre resta silencieux, un sourire figé sur les lèvres.
-Puis-je vous poser une question maître? reprit Laryant
L'homme posa un regard protecteur sur Laryant. Il pensait voir encore le garçon qu'il avait instruit.
- Bien sûr... dit-il sur un ton encourageant.
-Pourquoi êtes-vous là? je veux dire, pourquoi à une heure si matinale?
Le père supérieur prit un air pensif
-Vois-tu.. tu n'es pas seul à apprécier la beauté de la nature... Cela m'aide beaucoup pour méditer... et c'est beaucoup plus sain que les salles de la bibliothèque..
Laryant se leva, et remit son casque.
-Je dois faire mon tour de garde. Je suis déjà en retard.
Le prêtre se retourna.
-Vas-y. Le commandeur n'aime pas spécialement les retardataires.
Laryant se remit en route.


Le chemin qui descendait vers le campement impérial n'était plus très long, mais le sergent devait tout de même se dépêcher. Il repensa, tout en marchant, au paroles du prêtre, qui avait été son mentor pendant de nombreuses années.
Laryant n'était pas fait pour être sergent. Il se se souvenait à peine de son arrivée au chapitre, à l'age de six ans. Sa famille, de longue tradition militaire, avait voulu le voir entrer dans les rangs de la garde impériale, pour ensuite qu'il devienne soldat. C'était l'unique conception de l'honneur qu'admettait ses pères, et selon eux la mort pour l'empereur était préférable à la vie. Tout ne s'était cependant pas passé comme prévu. L'un des prêtres du chapitre avait vu dès le premier coup d'oeil que le garçon timide qui passait les portes de la place forte n'était pas destiné à devenir un soldat de l'empereur.
L'homme l'avait confié au père supérieur, qui avait fait son éducation. Il lui avait appris à lire et à écrire, lui avait donné des rudiments de médecine, et lui avait fait découvrir la grande bibliothèque du chapitre.
Et à présent, par une folle ironie du sort, Laryant commandait une unité d'hommes entrainés au combat, barrés de cicatrices, et certainement beaucoup plus méritants que lui d'accéder à son grade.
Laryant arrivait au niveau des premières maisons du campement quand un garde le tira de ses méditations.
L'homme semblait affolé, et des gouttes de sueur perlaient sur son front. Il avait du courrir à travers le campement.
-Sergent! Sergent! venez voir! Il y a... quelque chose... là bas.
Laryant fronça les sourcils, posa sa main sur l'épaule du garde et dit:
-Calmez-vous.. reprenez vous... que se passe-t-il?
Le garde avala sa salive et répondit entre deux souffles
-Venez voir... venez voir!
Laryant emboita le pas du garde, et charga son fusil. Il y avait fort à parier qu'il s'agissait d'une quelconque bête sauvage, en effet certains des gardes impériaux, simples conscrits, avaient tendance à s'effrayer trop souvent.
L'homme s'approchait de l'immense jungle qui entourait le campement. Cette grande forêt tropicale était extrêmement dense, ce qui avait empêché toute exploration classique. Les gardes avaient du employer de petits vaisseaux pour la survoler et l'inspecter. On savait ainsi qu'elle était coupée d'un grand fleuve, et qu'elle s'étendait sur plusierus centaine de kilomètres carré
-C'est là.. dit-il en montrant un petit buisson.
Laryant se demandait à quoi il devait s'attendre. Le garde, effrayé, ne donnait que peu de précisions.
La créature qui se trouvait derrière le buisson semblait tout faire pour qu'on ne la repère pas, mais le monocle de Laryant, cadeau des prêtres, détectait une zone de chaleur, caractéristique d'un être vivant.
-C'est un ork... je pense... reprit le garde.
Le sergent chargea son pistolet automatique, et tira cinq coups en direction du buisson. Si c'était vraiment un ork, cinq lasers devraient, sinon le tuer, le blesser gièvement.
-Rien ne bouge... suivez moi.
Le garde lui emboita le pas, son fusil pointé. Derrière le buisson, un kroot gisait dans une mare de sang.
Laryant rangea son arme, et observa la créature.
-Prévenez vos supérieurs. Si il y a des Kroots sauvages dans cette zone, c'est un danger pour les colons.
Sur ces mots, le sergent courut prendre un véhicule rapide. Il devait prévenir le chapitre. Les Kroots ne vivaient jamais en solitaire, et dans une jungle aussi grande il se pouvait qu'il y ait un très grand nombre de ces bêtes. Bien sur, cet animal était peut être etre la propriété d'un tau, d'autant plus que les éclaireurs impériaux, équipés de puissants radars, auraient détécté la présence de Kroots dans la jungle.
Il ne fallait cependant prendre aucun risque.
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeDim 29 Juin - 15:58

Laryant avait emprunté une chimère à l'entrepôt. Il démarra le véhicule et prit le chemin qui permettait de rejoindre le QG. Arrivé devant le bâtiment, il arrêta les moteurs et sortit en coup de vent. Les portes blindées du quartier général étaient étrangement fermées. Généralement, ce bâtiment connaissait un flux constant de technaugures et de soldats, au point que les gardiens laissaient les portes ouvertes, sans tenter de contrôler cet extraordinaire va et vient.
Laryant remarqua, devant le poste d'infanterie, deux Kasrkins en train de discuter. Ils avaient gardé leurs armures , mais avaient posé leurs leurs armes non loin. Le sergent s'approcha, et les interpella:
- Dites-moi, savez-vous pourquoi les portes sont fermées?
Les deux personnages se retournèrent, et le plus grand d'entre eux répondit:
- Il me semble que le commandeur discute d'une affaire de la plus haute importance avec le commandant des ultramarines. Cela durera toute la journée.
Laryant poussa un soupir. Il fallait que ça arrive aujourd'hui.
-Il n' y a vraiment aucun moyen d'entrer? Je dois absolument parler avec le commandeur.
Le Kasrkin remua la tête en signe de dénégation.
- Non. Pas que je sache.
-Essayez toujours d'entrer par le toit! ironisa son compère.
Laryant ne fit pas attention à la remarque. Il se demandait à présent ce qu'il allait faire. Le garde avait pu prévenir un commissaire, ou un sergent, mais qui se serait trouvé aussi démuni que Laryant.
Il pouvait aller voir l'un des prêtres. Mais cela ne servirait à rien. Ces hommes, malgré toute leur sagesse, ne disposaient pas de la moindre parcelle de pouvoir temporel.
Laryant décida de prendre lui même les choses en main. Il devait voir si il s'agissait oui ou non d'un danger réel pour ensuite pouvoir déranger le commandeur, en pleine conférence, avec un motif valable.
Le sergent avait confiance en son escouade, bien qu'elle ne lui soit pas parfaitement dévouée. Certains de ses hommes le considérait comme un doux rêveur, incapable de diriger d'une poigne de fer. Ce qui était parfaitement vrai. D'autres, par un sens exacerbé du devoir, obéissaient sans discuter à leur chef. Laryant se hâta vers le poste d'infanterie. Il ouvrit la porte, et se dirigea vers les quartiers de son escouade. Il avait laissé du temps libre à ses hommes, pendant son tour de garde. Il était cependant sûr de les retrouver dans leurs quartiers, car le soleil de plomb qui s'était levé décourageait presque tout le monde de sortir.
Ainsi, lorsque Laryant arriva, tout en sueur, dans les quartiers de son unité, il trouva tous ses hommes, vaquant à leurs occupations. Certains astiquaient leurs poignards, d'autres s'entraînaient au tir, ou se reposaient, simplement.
Le second de Laryant, qui se nommait Amalus, vint accueillir son supérieur.
-Sergent... quelle bonne surprise... dit-il en souriant. Vous avez survécu à votre tour de garde?
L'interpellé soupira en entendant le rire général qu'avait provoqué la remarque. Amalus était un homme fidèle, mais il ne se privait pas de se moquer de la nature parfois rêveuse et peu combattive du sergent.
-Pas le temps pour ce genre de chose, répliqua celui-ci. regardez:
Laryant décrocha son monocle. L'appareil faisait également office de caméra, et enregistrait toutes les images vues par le sergent. Laryant put donc montrer à son unité l'image du Kroot.
Amalus plissa les yeux pour me voir, puis sembla se rendre compte de la gravité de la situation. sans un mot, il mit son couteau au fourreau, et équipa son fusil
- Vous l'avez deviné. reprit Laryant. On reprend du service. je veux m'assurer qu'il y a réellement des Kroots dans le secteur avant de...
- Avant d'avertir les grosses légumes... termina un soldat. -dites moi, vous voulez qu'on fouille la forêt entière c'est ça?
Laryant regarda l'homme.
-Ce que nous pourrons inspecter, au moins. répondit-il.
-Et si on trouve des Kroots? reprit le soldat.
Le sergent soupira et commença à mettre son jet pack.
-On avisera... et surtout on évitera de combattre au maximum...
Amalus regarda avec étonnement Laryant qui ajustait ses réacteurs dorsaux.
- Vous venez avec nous ou je rêve? dit le second.
Le sergent cala son couteau à la ceinure et jeta un regard noir à Amalus.
- C'est que c'est vraiment urgent... murmura celui-ci.

L'escouade survolait la jungle depuis un moment déjà, cherchant désespérement un endroit ou atterrir pour commencer l'exploration. la jungle était tellement dense.... la canopée, d'un vert brillant, empêchait quiconque survolait la forêt de voir le sol. d'étranges chants d'oiseaux parvenaient aux oreilles de Laryant, qui oublia un moment le bruit des réacteurs pour les écouter. Ils connaissait certains des oiseaux dont il entendait les chants, mais d'autres lui étaient totalement étrangers. Il prêta l'oreille, et entendit un son qui se détachait des autres... ce n'était pas un oiseau... C'était une musique.. une musique bien particulière émise par un instrument à une corde.... Mais il n'arrivait plus à se souvenir....
La voix railleuse d'Amalus lui parvient alors à l'oreille.
- Sergent! vous êtes avec nous?
Laryant se retourna.
-Oui... oui...
"j'ai du rêver".
-On a trouvé un endroit ou atterir.
-Très bien! dit le sergent. On descend.
L'escouade atterrit et les membres commencèrent à regarder alentour, fusil pointé, pour voir si la position était belle et bien sûre.
-Sur c' qu'on peut voir..; c'est à dire pas grand chose... c'est bon. dit un soldat.
Laryant soupira.
-On sait au moins qu'il n'y a pas de Kroot à deux mètres à la ronde, c'est déjà ça...
Le sergent repensa un moment à la musique qu'il avait entendu, mais se reconcentra rapidement sur la situation.
Il chuchota ses ordres à Amalus, beaucoup plus doué que lui pour les transmettre à l'unité.
- il faut qu'on reste près les uns des autres... je voudrais pouvoir au moins 4 membres de l'escouade constamment. Et surtout.. on avance prudemment et lentement...
Amalus hocha la tête
- Bon! reprit ce dernier. On garde un maximum le contact visuel! et faites attention ou vous mettez les pieds! Pigé?
Les paratroopers firent savoir qu'ils avaient compris et commencèrent l'exploration. Les arbres étaient si rapprochés qu'ils cachaient le ciel, et la chaleur était étouffante.
Un membre de l'escouade semblait aux prises avec un essaim de moustiques, et finit par tenter d'utiliser, en vain, son arme contre les insupportables insectes.
-Vous êtes fou? lança Laryant. Vous allez nous faire repérer!
-Ca serait pas plus mal, grommela l'homme. Là au moins on aurait trouvé c'qu'on est parti pour chercher pendant des heures...
Laryant soupira, et pria un moment l'immortel empereur avant de répondre:
- Je préfère explorer à ma façon, voyez vous? Si il y a un combat, on risque de perdre des hommes et je vous signale que cette opération n'a pas été approuvée par le commandeur. Autrement dit si vous revenez bléssés on me demandera des comptes.
L'escouade avançait doucement mais surement dans la jungle. Ils avaient rangé leurs fusil dans le dos, et utilisaient de petites machettes, de façon à se frayer un chemin à travers la végétation
Laryant et ses hommes se rendaient compte à quel point les suppositions des équipes impériales d'éclairage, selon lesquels la forêt ne comportait aucune menance pour la colonie, étaient invraisemblables. En effet cette jungle semblait abriter un écosystème très varié, semblable à celui de la Moriah, ce qui induisait la présence d'Orks et de Kroots.
L'unité de Laryant approchait d'une partie de la forêt moins dense. Certains petits arbres avaient été coupés, et on pouvait remarquer un feu à moitié éteint.
- Avançez prudemment... chuchota Laryant.
Laryant regarda les alentours à l'aide son monocle. Il n'y avait rien, mis à part des moustiques. En se retournant, cependant, il vit une forme bouger faiblement. C'était un être humain, ou un tau.
-Là-bas! lança-t-il.
Les soldats le suivirent jusqu'au buisson. Il y avait un homme, couvert de blessures. On l'avait vraisemblablement torturé. Il avaient de nombreuses entailles aux bras, faites avec des armes de fer. Il semblait également avoir été touché au niveau du ventre, mais son armure de kasrkin avait atténué le coup. il n'en restait pas moins dans un piteux état, bougeant à peine.
- Les... les... tenta-t-il de dire. Il crachait un peu de sang à chaque parole.
Amalus s'approcha
- Ne parlez pas. On va vous ramener. Sergent, vous avez de quoi le soigner?
Laryant était parti un peu plus loin, et se penchait sur un buisson
- Que faites vous, sergent? reprit Alamus.
L'intéressé se retourna en souriant.
- Heureusement pour ce pauvre homme, la jungle n'apporte pas que des dangers. répondit Laryant
Il avait dans ses mains de nombreuses mousses et plantes, qu'il appliqua sur les blessures les plus graves de l'homme
-Cela devrait suffir pour tenir pendant le voyage, je pense. Il pourra nous raconter ce qu'il s'est passé plus tard
L'homme prit soudain une expression du terreur. Il tentait de parler, mais les sons qui sortaient de sa gorge étaient incompréhensibles. Il parvient tout de même à articuler;
- Derrière... vous... derrière...
Laryant se retourna juste à temps. Juste à temps pour voir une trentaine de kroots, en armes, s'avancer. Quelques secondes plus tard, leur cri de guerre retentissait, et ils bondissaient sauvagement sur l'escouade de Laryant.
Les hommes, qui jouissaient d'extraordniaires réflexes, se dispersèrent rapidement, tout en tirant leurs armes. Alamus prit avec lui le blessé, en le couvrant d'une rafale de lasers brûlants qui faucha trois Kroots.
Laryant, de son coté, s'empara de son propre fusil mitrailleur et chercha une position plus sure que le buisson derrière lequel il se trouvait. Jetant avec adresse son poignard sur ses assaillants, il eut la diversion qu'il désirait. Il courut vers un immense arbre à triple tronc derrière lequel il s'abrita. Il entendait des rafales de lasers et des cris de guerre barbares un peu partout dans la jungle. Il tira une quinzaine de fois à l'aveuglette, pour tenir les Kroots qui l'avaient pris pour cible en respect, et courut à nouveau vers l'endroit d'ou provenait les bruits de combat, espérant y retrouver ses camarades. L'arme à la main, il rejoignit l'endroit, et vit son unité aux prises avec les kroots, pour certains au corps à corps. L'un de ses hommes, virtuose du combat à l'arme blanche, jouait de son simple couteau, tuant Kroot sur Kroot. Les autres utilisaient leur fusil, armes à répétition dévastatrices.
Laryant jura en se rendant compte qu'il n'avait plus de munitions, et se jeta à terre, en priant l'empereur.
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeDim 29 Juin - 15:58

Il entendait plusieurs créatures s'approcher lentement. Soudain, il distingua la crosse d'un fusil, légerement enfoui dans le sol. Il s'empara rapidement de l'arme, se retourna, et tira. Une raffale de traits, semblables à de petits insectes blancs, frappa les Kroots qui s'approchaient de lui. Ils poussèrent des cris de rage et continuèrent de s'avancer, pendant que leur peau semblait se dissoudre sous les tirs.
Le sergent pria pour que le fusil contienne encore suffisamment de munitions, et continua son feu. Le premier Kroot s'effondra dans un râle, les bras désarticulés et d'étranges feux folets blancs lui parcourant le corps. Il fut rapidement suivi des deux autres, qui subirent la même mort.
Laryant baissa son arme et l'observa. Le fusil était assez impressionant par sa taille, et son étrange forme fuselée le rendait plus mystérieux encore. Il était fait d'un métal blanc, étrangement scintillant. Le sergent soupesa l'arme; elle était particulièrement légère. Du titane peut être...
Amalus déboula devant Laryant, en sueur, l'arme à la main.
- Sergent! nous avons réussi à les repousser! il n'y a pas de pertes!
Le second vit que son supérieur ne faisait pas attention à lui. Il regarda à son tour l'étrange fusil que tenait Laryant.
- Qu'est ce que c'est? demanda-t'il.
Le sergent tourna la tête, pensif.
- Je ne sais pas Amalus... Je ne sais pas. Peut être savez vous?
Le second fit non de la tête.
Laryant resta encore un moment dans ses pensées, puis se ressaisit.
- Nous avons des bléssés?
Amalus s'assit sur une souche.
-Non... c'est un miracle d'ailleurs.
-Et l'homme que nous avons trouvé?
Le second soupira.
-Il va mal, mais un soldat est en train de le transporter vers le campement.
Laryant replaca ses réacteurs dorsaux.
-On va pas tarder à y aller nous aussi. Pas de raisons de trainer, on a d'ores et déja une bonne raison de déranger nos chefs.
Le sergent hésita un moment, puis jeta son fusil mitrailleur et le remplaca par l'étrange arme qu'il avait découverte.
Quelques minutes plus tard, l'escouade de Laryant décolait, et partait pour le campement. Les paratroopers poussaient au maximum sur leurs réacteurs, de façon à arriver à temps.
Dès son arrivée, le sergent se mit à tambouriner à la porte du quartier général. Après de longues minutes d'attente, un micro et une caméra surgirent du blindage, et une voix caverneuse parvint aux oreilles de Laryant.
- C'est pour?
Le sergent, passablement énervé par le temps qu'avait mis la sentinelle pour répondre, répliqua en criant:
-Une urgence! Je dois voir le commandant ou le commandeur de la garde immédiatement!
Le garde poussa un long soupir.
- Je ne peux pas les déranger. ça vous embeterai d'attendre demain?
Le sergent gratifia la sentinelle d'un "oui" catégorique. Après un nouveau soupir, l'homme consentit à entrouvir la porte.
- J'peux vous demander qui vous etes avant de vous laisser entrer?
Le sergent tenta de garder son calme.
-Mais bien sur. Sergent Laryant, 8ème division des Paratroopers Eliséens. satisfait?
Le garde lui fit signe d'entrer.
-Mais attention, hein, vous dites pas que c'est moi qui vous ai laissé entrer, hein?
Laryant soupira.
- Non... non.
Le sergent courut le long des couloirs de métal du QG. Il conaissait l'endroit comme sa poche, car il avait longtemps été de garde dans le batiment, à ses débuts.
Lorsque Laryant déboula dans la salle de conférence, il fut l'objet de nombreux regards étonnés.
Tous les officiels étaient assis autour d'une grande table de bois, qui constituait avec les chaises l'unique mobilier de la salle, au confort spartiate.
-Commandeur je dois vous parler d'une affaire de la plus haute importance. dit Laryant en s'appuyant sur la paroi, essouflé
Le commandeur s'était levé, et semblait furieux. Il fit un signe de tête en direction des deux ogryns en faction devant la porte. Il s'agissait de vrais colosses, qui auraient pu briser la tête de Laryant, ou de quelconque homme d'ailleurs, d'un coup de poing.
- Sortez-le. Ce qu'il a à nous dire pourra bien attendre. Sur ces mots, le commandeur regarda Laryant, qui portait d'ores et déja la main vers son monocle
- Soyez heureux que je ne vous tienne pas rigueur de votre interruption.
-Attendez! dit le sergent , alors que les deux ogryns le trainaient vers la sortie.
Il jeta alors son monocle à terre, au milieu de la salle. L'objet grésilla, puis projeta les dernières images enregistrées sur le mur nu de la salle
Le commandeur fit signe aux aux orgyns d'attendre et regarda la projection. Bien que l'image ne soit pas de la meilleur qualité, tous les officiels présent purent voir la bataille.
Un vent de panqiue s'abattit alors sur la salle. Certains commissaires impériaux étaient déja en train de charger leurs armes, et le commandant de la garde contactait déja ses généraux.
- Du calme! cria alors le chapelain des ultramarines. Rien ne prouve qu'ils vont attaquer. Ces images sont certes inquiétantes, mais gardons la tête froide. Je pense cependant que cette évènement innatendu nous oblige à interrompre la réunion. Nous allons faire le nécéssaire, et organiser des battues. Ce sergent a bien fait de venir le plus tôt possible, nous allons en profiter pour nous préparer au mieux.
Les deux ogryns avaient laché Laryant depuis un moment déjà. Il reprit son monocle, le remit, et se hata vers l'amurerie. Il y avait autre chose qu'il devait vérifier de toute urgence.
Le batiment était d'architecture simple, de forme demi-cylindrique, et flanqué de deux fines tours à son entrée.
Laryant trouva l'armurier en plein travail. L'homme astiquait un lance plasma. Le sergent observa l'endroit, et vit qu'il était dans un ordre parfait. Les armes, presques neuves, étaient rangées par type, et l'armurier avair pris soin de laver parfaitement l'entrepot. L'homme fit un grand sourire au sergent. Il était d'un naturel jovial, et avait dépassé la cinquantaine. Cependant sa fonction de gardien de l'arsenal l'avait rendu un peu paranoïaque.
Il désactiva les dix alarmes qui bloquaient la porte de l'entrepôt, et fit signe à Laryant d'entrer.

- Eh bien, quel bon vent vous amène, sergent? dit-il en lui serrant la main
Laryant fit un sourire à l'homme, et tira l'étrange fusil de son dos.
- Je viens vous parler de cette arme.
L'armurier fronça les sourcils. Il plissa ses petits yeux noirs, et reagarda le fusil. La mystérieuse arme à la main, l'homme fit plusieurs fois le tour de l'entrepôt.
-Je n'ai absolument aucune idée de ce que c'est.
il s'assit à son bureau, fait de teck parfaitement verni, et pianota un moment sur son ordinateur.
-Non. Je ne sais pas. Je peux vous dire que cette arme n'est pas enregistrée dans mes fichiers en tout cas. Désolé de n'avoir pu vous aider...
Laryant quitta l'arsenal plein de doutes. Si l'armurier ne pouvait l'aider sur ce point, qui pourrait?
Le sergent pensa alors à Daraltor...
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeDim 29 Juin - 16:12

Voila, la cohérence de l'histoire est meilleur qu'avec ton space marines. De plus, l'action est plus intense avec des gardes humain qu'avec des super soldats. Si tu a besoin de conseil, n'hésite pas.
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeDim 29 Juin - 20:58

Cette fic est énorme, je l'ai déja dis, surtout pour un débutant Twisted Evil
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeLun 30 Juin - 21:11

Ouais elle déchire vivement la suite ^^
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeSam 5 Juil - 21:36

Voilà... dites moi si je m'enfonce Embarassed

Laryant pensa alors à la bibliothèque du templo ministorum. Il s'agissait d'une vaste annexe du temple, et les soldats n' étaient normalement pas autorisés à y pénétrer. Il espérait cependant que son ancien mentor lui autorise l'accès à ces lieux sacrés. Laryant poussa la porte de bois du temple, et tenta de faire le moins de bruit possible, de façon à ne pas déranger les prêtres qui méditaient ou priaient. Le temple, à l'image du reste du quartier général, était fait d'un métal léger, mais l'autel avait été construit en bois précieux. Laryant frappa doucement à la porte de la salle de prière personnelle du père supérieur. L'homme lui répondit de sa voix calme et grave:
- Entre.. Laryant.
Le sergent poussa doucement la porte, et s'inclina profondément devant le père supérieur.
L'homme s'assit à terre, et fit signe à Laryant de faire de même. Le sergent s'exécuta, et exposa sa requête. Il lui raconta tout. L'escarmouche, puis l'arme, et enfin l'incapacité de l'armurier à lui répondre concernant sa provenance.
- Ahhh... Tu voudrais consulter la grande bibliothèque.... Mais.... Tu le sais.... Seuls les prêtres peuvent y accéder.
- Je le sais... mais il doit bien y avoir un moyen.
Le prêtre réfléchit un moment, puis répondit:
- Oui... En effet, il y a un moyen... Pendant la nuit, je t'y mènerai... Maintenant va... On risque de remarquer ton absence.
Laryant remercia l'homme, et repartit sans faire de bruit. Lorsqu'il eut refermé la porte du temple, il courut vers les quartiers de son unité, espérant que la revue des troupes n'ait pas commencé. Le sergent trouva ses hommes en train de se préparer.
- Mais... Que faites vous?
Amalus ficha son poignard à sa ceinture, et chargea son fusil.
- On nous envoie dans des battues aux kroots. D'après eux on sait où ils sont, donc on doit accompagner les troupes d'élite mobilisées.
Laryant commença à se préprarer, et répondit
- Mais on ne sait pas où se trouve leur nid! On les a juste... rencontrés
Amalus s'assit sur une couchette
- Tu voulais que je discute avec le commissaire? Je tiens à ma peau, moi.
Laryant soupira. Tout ce que disait son second était vrai.
- Bonne nouvelle, par contre, on est accomapagnés de la deuxième et troisième division de Kasrkin. la crème de la crème. Et par une unité de Spaces marines. En plus on sera pas le seul groupe d'assaut dans la jungle. Ils veulent vraiment se débarrasser de ces bestioles.
Laryant poussa un soupir de soulagement. Si des kroots les attaquaient, ils se heurteraient à une résistance non négligable.
- Il y a une mauvaise nouvelle?
Amalus soupira.
-Malheureusement... oui. On est commandés par le commissaire Cléon.
Laryant se dirigea vers la porte, et baissa la tête. Il avait déjà été sous les ordres du commissaire, un véritable tyran, imbu de lui même. Comme une grande partie des commissaires, finalement. Mais celui là... C'était vraiment un cas extrême.
- On est attendus, là. dit Amalus. Vaut mieux se presser.
Laryant acquiesça, ouvrit la porte, et fit signe aux autres de le suivre. Arrrivés au lieu de départ de la battue, Les hommes de l'unité virent les deux unités de kasrkin déjà au garde à vous, et les spaces marines, un peu à l'écart qui chargaient leus armes. Le commissaire Cléon donna les instructions
- La première chose à savoir, cria celui-ci. C'est que le chef, ici, c'est moi. Toi, là, le paratrooper! dit Cléon en désignant Laryant
Le sergent sortit des rangs.
- Oui commissaire!
Cléon tourna un moment autour de Laryant, espérant peut être trouver un quelconque défaut dans la tenue du sergent.
- Tu vas, avec ton unité, nous servir de guide.
Laryant connaissait le plan, et salua.
- A vos ordres!
Le commissaire lui fit signe de retourner dans les rangs, et lança le départ de la battue.
Soudain Laryant entendit des rugissements provenant de la jungle. Cléon eut juste le temps de se jeter à terre et de tirer son arme. Une meute de kroots surgissait de la jungle. Ils étaient innombrables, sautant en dehors des bois, lançant des cris barbares. Les Kasrkins, habitués aux situations d'urgence, avaient serré les rangs, et se préparaient à se défendre. Les spaces marines arrosaient déja les assaillants d'une pluie de projectiles. Les paratroopers de Laryant, jouant de leurs réacteurs dorsaux et de leurs poignards, s'étaient taillés un chemin vers le corps inerte du commissaire, qu'ils ramenèrent en lieu sur.


Dernière édition par Warser le Dim 6 Juil - 12:17, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeSam 5 Juil - 22:30

Mis à part que la scéne est complétement pomper sur celle où Obi-Wan Kenobi va voir son ami Dexter dans son bar sur coruscant pour découvrir d'où vient la fléchette empoisonné de Jango Fett dans Star Wars épisode II L'attaque des clones (tu a à faire à un expert de la saga de Lucas^^), que c'est assez incohérent fluffiquement (les voyages entre planétes utilisent le systéme warp et durent des jours entiers de plus, qu'un garde prenne un vaisseau sans que cela ne se remarque... Suspect et pour finir il n'y a pas de vaisseau léger pour les voyages spatiaux dans 40K) c'est assez bof. Tu partais sur de bonne base dans le début de ta fic mais la tu nous pond un truc fait sans gros effort (excuse moi, ce n'est pas contre toi mais c'est vrai que c'est presque du copier-coller). Prend ton temps pour ecrire ta fic, utilise des idées original. Si tu veux t'inspirer de film ou livre tu peux mais ne fait pas du recopiage. Regarde ma fic, elle n'est pas longue mais je bosse dessus presque tout les jours. Je te conseil de revoir cette partie et de nous faire quelque chose qui vienne vraiment de ton imagination^^ Allez, sans rancune, je sais que tu peut y arriver mais n'oublie pas, prend ton temps. Bonne chance.
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeDim 6 Juil - 10:31

oui c'est vrai, moi même je ne suis pas spécialement content de cette partie =x jvais la refaire je pense.

PS (bon c'quand meme pas un c/c jdirais à ma décharge.... d'autant que c'est difficile de c/c un fim^^)


edit
a tout hasard: cette partie, la pas super, a été éditée, et j'aimerai bien savoir si vous voulez que je continue, si c'est mieux, si je dois changer encore, etc.... Vos avis, quoi^^ la charité^^
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeVen 11 Juil - 14:54

Pour comprendre cette suite, il faut lire la partie précédente, qui a été com-ple-te-ment modifiée... Very Happy

Malgré les efforts des Kasrkins pour contenir l'ennemi, les kroots enfoncaient la ligne comme les dents d'une scie. Les baïonnettes des soldats rivalisaient difficilement avec les armes de corps à corps des kroots, et beaucoup de sang humain était versé. Les sergents, qui avaient pour ordre premier de garder leurs soldats en vie, se replièrent sur les premières défenses impériales. Seules les spaces marines luttaient, poussés par leur foi. Mais alors que les kroots les submergeaient, ces surhommes tombaient un par un, avec un cri de rage. Quand il fut clair qu'ils ne pouvaient plus tenir, le sergent ordonna avec regret le repli.
Les kroots se déployèrent alors. Ils étaient innombrables, aidés par des meutes de chiens et d'immenses bêtes de guerre.
Les gardes, retranchés derrière des sacs de sable, dans des tourelles, ou dans des tranchées, voyaient cette horde de créatures hostiles avancer vers le camp, telle un raz de marée.
La première vague, bondissant par-dessus les défenses, fut stoppée par les tirs des Kasrkins. Les tourelles fauchaient les kroots durant leur course, et la plupart de ces bêtes mouraient avant d'arriver devant les premières défenses. Le retranchement impérial semblait inviolable... Cependant, Lorsque les krootox attaquèrent, le manque de préparation des gardes se fit sentir. Les balles et les lasers qui touchaient ces créatures ne faisaient qu'augmenter leur furie. La première charge de ces bêtes balaya les sacs de sable, ouvrant la voie aux chiens et aux kroots. Les ogryns impériaux chargèrent alors. Leur énormes fusils à la main, ils poussèrent des cris gutturaux et se jetèrent sur les kroots, baïonnettes à la main. Le commissaire narth, qui commandait les orgyns, se tenait à une certaine distance du combat, et semblait soucieux. Ses forces n'allaient pas tenir très longtemps.
L'unité de Laryant harcelait les kroots sur les flancs, frappant fort puis se repliant. Le sergent avait mis de côté sa peur du combat pour commander son unité. Malgré la chute des kasrkins et des premières lignes de défense, il fallait garder espoir Laryant avait entendu que la deuxième compagnie blindée était en marche, et que l'artillerie impériale était bientôt prête. Le sergent avait également vu des unités de spaces marines se déplacer vers le front. Non, tout n'était pas perdu. Les hommes de l'unité de Laryant, crispés et tendus, se préparaient à un nouveau raid dans le but de priver l'ennemi d'un maximum de krootox. Laryant avait fait un pari risqué. les membres de l'unité devaient se jeter du ciel sur les conducteurs, les tuer ou les mettre à bas, pour rendre les bêtes incontrôlables. Les membres de l'unité, poignard à la main, activèrent leurs réacteurs, de façon à faire un saut rapide vers les lignes kroots. Les krootox étant disposés en première ligne, et les kroots disposant exclusivement d'armes de corps à corps, il était difficile pour les guerriers de venir en aide aux conducteurs des krootox. les paratroopers purent ainsi mettre hors d'état de nuire un certain nombre de ces bêtes. Cependant les kroots furent assez vifs pour se jeter sur les krootox, empêchant les soldats impériaux d'utiliser leurs réacteurs pour se replier à nouveau. Entourés de kroots, attaqués de tous côtés, les membres de l'unité de Laryant n'avaient guère de chances de s'en sortir....
Amalus, couteau à la main, était cependant parvenu à rejoindre les lignes impériales.

Malgré la puissance des ogryns, les kroots avaient enfoncé le front, et se dirigeaient vers la base.
Le commandeur de la garde, accompagné des commissaires, exhortait les troupes à reprendre courage, et à tenir. Les unités de spaces marines étaient entrées dans la danse, et les puissants terminators d'assaut, leurs immenses marteaux brandis, épaulaient les ogryns dans le combat au corps à corps, alors que les bolters lourds offraient un tir de soutien important. Mais les kroots avançaient toujours... Soudain, un bruit pareil au tonnerre se fit entendre. Un obus explosif venait de frapper une meute de chiens kroots, dispersant et tuant ces derniers. La deuxième compagnie blindée était arrivée. Le baneblade, la pièce maîtresse de l'unité, avançait inexorablement, ses mitrailleuses lourdes hachant littéralement les kroots qui s'approchaient. Suivaient les helhounds, les porteurs du feu de l'empereur.

Voilà, c'est un peu court, mais c'est pour voir si vous voulez ou non la suite^^
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeVen 11 Juil - 22:24

Moi ca me va, j'adore les chapitres décrivants les batailles, et je dois avouer que celui-ci est plutot bien réussi Wink
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeVen 11 Juil - 22:41

La bataille est bien décrite, l'action bien retranscrite et l'esprit de 40K respecter. Le seul défaut (si on peu appeler ça un défaut) est que tes kroots arrivent comme un cheveu sur la soupe. Ils attaquent pîle au moment où tes hommes partent pour une battu, comme si ils avaient prévu le coup. Peut être était ce fait exprès et peut être nous révéleras tu les raisons de ce comportements suspect dans la suite. Je ne peu que t'encourager à continuer.
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitimeSam 12 Juil - 11:31

Merci pour vos commentaires Very Happy jvais continuer alors :rabbit:

@Ikarus, oui, j'y ai pensé^^ il y a une raison.
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MessageSujet: Re: colonisation   colonisation Icon_minitime

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